Présidence de l’APIGA : le FAGACE passe le témoin à l’ANPGF

Présidence de l’APIGA : le FAGACE passe le témoin à l’ANPGF

Ce 05 juin 2018, s’est déroulée à Cotonou, au siège du FAGACE, la réunion de passation de charges entre Madame Minafou COULIBALY KONE Directeur Général du FAGACE et Madame Naka GNASSINGBE – DE SOUZA, Directrice Générale de l’ANPGF, présidente en exercice de l’Association Professionnelle des Institutions de Garantie d’Afrique (APIGA).

A cette occasion, le Directeur Général du FAGACE, dans son mot de bienvenue a réitéré ses félicitations au Président pour sa brillante élection avant de rappeler les points en suspens en l’occurrence, la nécessité pour l’Association de faire inscrire au niveau de l’OHADA la garantie à perte finale, utilisée par la plupart des garants, ainsi que les spécificités du métier au regard de la législation en vigueur en général, avant d’expliquer l’opportunité de création d’un poste de secrétariat exécutif pour assurer un meilleur suivi et garantir la continuité des actions entreprises.

En réponse, Madame de Souza, après avoir exprimé sa reconnaissance aux Directeurs Généraux des Institutions membres de l’APIGA qui, au cours de la 6ème Assemblée Générale à Lomé, ont porté leur choix sur l’ANPGF pour présider aux destinées de l’association, a rassuré l’assistance de son engagement à opérer le renouveau nécessaire pour que soit reconnue, aux organismes de garantie, leur place incontournable dans la sphère des institutions financières.

Créée le 16 avril 2007 à Cotonou, l’APIGA regroupe l’Agence Nationale de Promotion et de Garantie de financement des PME /PMI (ANPGF), le fonds Africain de Garantie et de Coopération Economique (FAGACE), le fonds Africain de Garantie des Investissements Privés en Afrique de l’Ouest (Fonds Garantie), le fonds National d’Assistance aux PME (FONAGA), la Société Sahélienne de Financement S.A. (SAHFI S.A.), et le fonds de Garantie Hypothécaire du Mali (FGHM).

Elle a pour missions de :

  • constituer un groupe d’actions pour la défense des intérêts liés à leur métier commun,
  • créer un cadre de concertation et de dialogue en vue d’accroître leurs ressources et d’améliorer leurs outils et modes d’intervention,
  • normaliser la profession,
  • harmoniser leurs règles prudentielles,
  • promouvoir une meilleure compréhension du métier de garantie.

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